Peu de temps en ce moment pour mes petites pochades à l’huile …
Alors, voici des dessins faits il y a quelques mois à l’encre de chine. Méthode et résultat qui font penser à l’aquarelle. Cette fois, on va du plus clair au plus foncé, mais pas de dessin préliminaire ! … comme toujours !

J’en ai fait un deuxième, toujours sans dessin préalable. Plus difficile, certes ! Mais je l’aime bien, même avec ses défauts de perspective.

En travaillant avec de l’encre de Chine noire, on ne travaille que sur les valeurs. On voit bien que leur respect est très important, c’est ce qui donne le volume, le relief, la profondeur.
Quel bel ouvrage ! Le premier me rappelle la Chine et les nombreux dessins vus dans les musées la-bas et le deuxième me rappelle mon voyage au Laos et la vie des campagnes.Le travail du noir et des reserves de blanc donne de la profondeur. Ca donne envie pour des carnets de voyage !!
bises
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Merci ! Tu es gentille ! Bisous
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Oui ça fait penser à la Chine … et à l’aquarelle ! Bises
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bravo je suis toujours autant admirative de ce que tu fais, bisous bisous
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Merci, tu es gentille ! Bisous
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magnifique !!! bravo ! gros bisous de nous deux. Michel et Bénédicte
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Merci ! C’est gentil ! Bisous à tous les deux
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Tardivement je vois ces deux dessins à l’encre de chine et je puis dire que je suis enthousiaste. Baignant avec mes recherches dans le monde asiatique et particulièrement chinois je peux te dire que ce que tu fais est très réussi et nous sommes entraînés dans ce monde très particulier avec ses douceurs et ses secrets. Le noir et le gris ouvre la porte sur l’inconnu, comme la porte de cette façade , qu’est ce qu’il y a derrière…..
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Oui, je les aime tous les deux et ça me donne envie de refaire de l’encre de Chine … le noir et blanc, c’est comme en photo, c’est une autre façon de voir les choses …
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https://peintureetpartagehome.files.wordpress.com/2019/05/c02e9bc5-d63d-44ec-afa7-2f5a126846eb.jpeg?w=768&h=576
Je vois trois concubines
Le long de l’étang elles lambinent,
N’ont rien à y faire
Puisque c’est la guerre.
Par cette scène suis éberlué
Et reste à les regarder
Sans me soucier du danger.
Car devant des sujets de l’empire
L’on peut craindre le pire.
L’empereur en personne se déplaçait
Dans cette région reculée.
La croyant inhabitée avait autorisé
Ses concubines à s’y prélasser.
Je fus surpris par trois guerriers.
Pieds et poings liés m’ont emmené
Dans la tente impériale de soie drapée.
Sentence implacable, décapité j’allais être
Au pied de la montagne qui m’a vu naitre.
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Très beau commentaire !
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Élisabeth, ces dessins sont vraiment très beauX
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Merci beaucoup ! Je les avais oubliés et votre commentaire m’a donné l’occasion de les revoir. Merci !
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Nous entrons dans l’imaginaire des lettrés, ces dessins font rêver, Élisabeth, merci du partatge.
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Merci ! Ça m’a permis un retour en arrière … je les aime bien ces dessins.
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